Le golf et moi, c’est une longue histoire. Membre FFGOLF depuis maintenant plus de 10 ans, je suis un passionné et quelqu’un de profondément attaché à mon sport car je crois sincèrement en tout ce qu’il m’apporte : sérénité, apaisement, bien-être physique et moral, plaisir, bonheur. Contrairement à la pensée collective, le golf n’est pas une mince affaire, on est bien loin du simple concept qui consiste à rentrer la balle dans le trou en tapant bêtement dedans jusqu’à avoir fait la bonne distance. Au golf, de nombreux facteurs que beaucoup de personnes ignorent rentrent en jeu, parmi eux la pente, le vent, le choix du club, la distance, la trajectoire de balle, la stratégie... c’est un sport qui a l’avantage d’être à la fois très technique et très intellectuel. C’est donc pour toutes ces raisons que j’aime ce sport.

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Malheureusement, le golf réserve parfois de mauvaises surprises et les joueurs qui s’entraînent le plus ne sont pas forcément les meilleurs, car le facteur chance et réussite au golf est quand même relativement important et il est tout à fait possible de très bien jouer le samedi et de mettre des balles dans tous les sens le dimanche. C’est un sport qui pourrait être considéré comme ingrat, même s’il n’y a pas de doutes sur le fait que s’entraîner beaucoup amène à de meilleures performances sur le long terme, sinon à quoi bon s’entraîner ?

C’est aussi de cette manière que le golf nous donne une belle leçon de vie : il faut avoir des bas pour avoir des hauts et mieux les apprécier. La gestion de ses émotions et de son système nerveux est une clé de la réussite au golf, certains des plus grands champions de l’histoire du golf expliquent que les résultats sont en général à 90% (in)directement liés à votre état d’esprit et la maîtrise de vos émotions...